Le niveau de tension est monté d’un cran au Groupe hospitalier Bretagne Sud, à Lorient, après le courrier du député Jean-Michel Jacques à la ministre de la Santé. Les parlementaires demandent un cap clair à la direction, qui reste silencieuse.
« Annonces orales anxiogènes », « rétropédalages récurrents », « gestion opaque ». Le député Jean-Michel Jacques n’a pas fait dans la langue de bois en écrivant à la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, au sujet du Groupe hospitalier Bretagne Sud. « Quand il faut, il faut. Quand on n’a pas de réponses, on prend le ton adapté », commente-t-il aujourd’hui.
"Soutien aux personnels du #GHBS
 "Je me réjouis que le directeur du GHBS ait enfin compris que la transparence et le dialogue avec les différents partenaires sont indispensables à la réussite d’un projet de #territoire. Mais au-delà des mots, il reste à tenir parole et à agir convenablement."
 "Je me réjouis que le directeur du GHBS ait enfin compris que la transparence et le dialogue avec les différents partenaires sont indispensables à la réussite d’un projet de #territoire. Mais au-delà des mots, il reste à tenir parole et à agir convenablement." Je reste particulièrement attentif à l’évolution de la situation et je poursuis mes rencontres régulières avec les #syndicats, les élus et les familles de patients."
 Je reste particulièrement attentif à l’évolution de la situation et je poursuis mes rencontres régulières avec les #syndicats, les élus et les familles de patients." 

