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URGENCES DE QUIMPERLÉ – ÉPISODE 3 
PLANNINGS EXPLOSIFS ET SILENCES COUPABLES ! 


Faut qu’on se le dise : 
au GHBS, certains plannings flirtent avec la folie. 
48 heures ? (heures supplémentaires comprises) 

Un détail pour certains. 

60 heures sur une semaine glissante ? (ex: du mardi au mardi) 
Pour eux, c’est du “dévouement”. 
Pour nous, c’est du danger pur et simple. 

Alors on ne va pas tourner autour du pot : 


Nous lançons un appel à témoins. 

Agents, collègues, témoins du terrain, 
faites-nous remonter tout planning qui dépasse la limite légale. 
Prévisionnel ou réel, tout nous intéresse. 

Parce que quand un accident de service n’est pas reconnu, 
ce ne sont pas les discours qui protègent, 
ce sont les preuves. 

Et des preuves, il en faut, pour alerter l’instance F3SCT (sécurité et conditions de travail ) sur les 
risques pour la santé, et, s’il le faut, pour aller devant le Tribunal administratif faire valoir nos 
droits.

NOS ÉLUS CSE NE VALIDENT PAS L’INACCEPTABLE 
Nos représentants CSE (Comité social d’établissement) refusent de voter des organisations de travail 
qui piétinent la loi, mais la direction les applique malgré tout. Contre l’avis des membres de la 
commission qui eux, sont élus par les agents, donc légitimes. 
Les décrets, ce n’est pas du papier . 
C’est le cadre qui protège ceux et celles qui font tourner l’hôpital. 

Et le Conseil d’État lui-même l’a dit : 
Le non-respect de la réglementation détruit la santé. 
C’est écrit noir sur blanc. 
Pas besoin d’un dessin. 

UNE COLLÈGUE EN A FAIT LES FRAIS 

Dans nos mains : un planning à 60 heures sur 7 jours. 
Résultat : épuisement professionnel confirmé par une expertise. 
Et l’administration ? 
Elle regarde ailleurs, comme si ne pas voir la blessure faisait disparaître le problème 


ALORS ON LE DIT CLAIREMENT : 

Nous demandons : la transmission de tous les plannings dépassant les 48 heures hebdomadaires, le respect strict de la réglementation, la protection réelle de la santé des agents. 


Parce que les agents, ne sont pas des robots. 
Et quand on tire trop sur la corde, c’est toujours l’humain qui casse. 

« On ne défend pas les collègues avec du bla-bla, 
mais avec la LOI .» 

Pour ça, il faut des preuves 

(prenez des photos ; échangez systématiquement 
par écrit et demandez des réponses écrites ). 
Faites-vous accompagner si vous êtes convoqué(e) … 
Pas de solution miracle, il faut du personnel !!! 
Moins il y a de blouses blanches , + les conditions de travail se dégradent. 


 

Rassemblement pour le FORFAIT MOBILITÉ DURABLE au #GHBS

Le 16 décembre – Parking Colbert 12h30 à 15h
 Tous ensemble, à vélo, à pied, en trott... ! 


Vous pouvez venir sur votre temps de repas, de pause ou pendant 1 heure sur autorisation (motif information syndicale)
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Pour info, le dossier est en cours d’instruction. La date de l’instance au tribunal est prévue pour fin 2025 – début 2026

La mention « peuvent bénéficier » figurant dans le décret 
n° 2020-1554 du 9 décembre 2020 relatif au versement du 
« forfait mobilités durables » dans les établissements publics de santé, sociaux et médico-sociaux renvoie au fait que les agents doivent remplir deux conditions :
utiliser l'un des deux moyens de transport éligibles mentionnés à l'article 1er du décret pour se déplacer entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail pendant un nombre minimal de jours sur une année civile (article 2 du décret) ;
déposer une déclaration sur l'honneur au plus tard le 31 décembre de l'année au titre duquel le forfait est versé (article 4 du décret).


 
Dès lors que l’agent rempli les conditions fixées par le décret du 9 décembre 2020, le versement du forfait mobilités durable par l’établissement employeur est de droit.

 

 

 

 

 

La Sécurité Sociale : Trésor National et Utopie Réalisée
 
La sécurité sociale est décrite comme notre trésor national et une utopie réalisée

C'est une "espèce de folie" de concevoir que les gens, lorsqu'ils sont malades, vont chez le médecin, sont remboursés et continuent à être payés

 
Ce "miracle" de la sécurité sociale est né dans un pays en ruine
 
Le Contexte de la Libération (1944)
Le Général de Gaulle, dans ses mémoires, décrit l'état du pays à la Libération:
Les destructions couvrent tout le sol
 
Il manque des logements pour 6 millions de Français
 
Infrastructures dévastées : gares écroulées, voies coupées, ponts sautés, canaux obstrués, ports bouleversés
 
Agriculture : 1 million d'hectares sont hors d'état de produire (retournés par les explosions, truffés de mines, creusés de retranchements)
 
Pénuries généralisées : manque d'outils, d'engrais, de plans, de bonnes semences
 
Le cheptel est réduit de moitié
 
Les finances sont écrasées par une dette publique colossale
 
Les budgets sont condamnés pour longtemps à supporter les dépenses énormes de la reconstruction
 
C'est au milieu de cette dévastation que naît la Sécurité Sociale
 
Comment est Née la Sécurité Sociale ?

Ce qu’il faut retenir, sans filtres.


SUD Alerte sur les risques et les dysfonctionnements au GHBS
1. Radon : l’omerta dangereuse

Il apparaît que le GHBS n’a jamais lancé de campagne systématique de mesure du radon
sur l’ensemble de ses sites, contrairement à ce que la réglementation exige (ces prélèvements sont
normalement requis tous les 10 ans).


La direction admet cette carence : c’est une anomalie réglementaire grave.
Pour corriger cela, le GHBS a demandé à la Direction des Achats, Logistique et Travaux
(DALT) d’organiser des campagnes de prélèvement, en priorité dans les bâtiments les plus
anciens.


 Sur les résultats de l’EPSM Charcot (site Danvez), la direction dit avoir relancé les
informations. Mais elle prévient : ces résultats ne peuvent pas être généralisés à d'autres secteurs,
car les niveaux de radon varient fortement selon les pièces,ventilation, usage, environnement
immédiat.

1. Nous souhaitons obtenir les plannings des AS et IDE, de jour comme de nuit, du
service des urgences de Scorff pour le mois de septembre 2025, afin d’étudier
l’organisation et les modalités de mobilité entre les services d’urgences de Quimperlé
et de Scorff.


2. Nous demandons à recevoir les plannings correspondant à la nouvelle
organisation des AS de jour du service MGG de Riantec.
Ce point n’est pas repris car la direction il nous affirme qu’il n’y a aucune
réorganisation en cours.


3. Nous sollicitons une évaluation de la gestion financière des pôles depuis la mise
en place de leur autonomie financière. Ce point sera vu plus tard au premier CSE de
2026 car pour la direction il est trop tôt pour faire une étude financière.


1) Pouvez-vous nous présenter le DUERP et le Papripac ?
“L’employeur public hospitalier doit établir et mettre à jour le DUERP, puis élaborer le PAPRiPACT pour planifier et suivre les actions concrètes d’amélioration des conditions de travail, en s’appuyant sur l’analyse annuelle des risques."


2) Pourrions-nous obtenir une présentation complète des Documents Techniques Amiante (DTA) pour l’ensemble des sites du GHBS?
Par ailleurs, conformément aux obligations réglementaires imposant un contrôle du gaz radon tous les dix ans, Pourriez-vous nous communiquer les analyses réalisées pour chacun des sites du GHBS, y compris ceux du GIP et de l’UCP?
Pourrions-nous également avoir la transmission du planning des prélèvements prévus par le GHBS sur l’ensemble des établissements du Groupe?
Enfin, pourrions-nous être destinataires des résultats des analyses présentées au F3SCT de l’EPSM Charcot concernant leur service implanté sur notre site de La Colline à Hennebont?